Traduction :
(merci de respecter notre travail et de nous créditer si vous l'utiliser)
Quel était le camp d’entrainement beatnick auquel vous avez du assister pour le tournage d’On The road ?Walter Salles voulait que les acteurs principaux se retrouvent et sortent avec des experts et des biographes de la Beatgeneration, qui sont venus parler avec nous. Nous avons visionné des films de cette époque et écouté Charlie Parker ainsi que Dizzy Gillepsie en faisant des pompes et en se rongeant les ongles. J’ai appris à taper à la machine à écrire et à parler le français canadien avec un accent québécois. C’était un emploi du temps très rempli.Et concernant votre accent américain ?Je pense qu’il est mieux que passable. J’ai juste fait le doublage et la voix off. Les anglais ont tellement de dialectes différents, nous avons donc du tous les apprendre, en grande partie pour se moquer les uns des autres. Parler à l’américaine n’est pas si compliqué. En plus, il y a beaucoup d’enregistrements de Jack Kerouac sur lesquels on peut s’appuyer. Mais vous jugerez par vous-même. Prenez quelqu’un qui ne sait pas que je suis anglais à la base.Comment s’est passé le tournage ? C’est un livre compliqué à adapter en film et beaucoup de personnes ont essayé et ont échoué par le passé.Et bien, ce fut un tournage de 5-6 mois. Ce fut dur. La thérapie se déroule bien, à propos. Je devrais être débarrassé de tout ceci d'ici peu.
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